Le Blog de Alain Sandler

Les articles dans ce blog ne reflètent pas l'action de la Primaire des Françaises et des Français. Ceux-​ci agré­mentent l'actualité du site inter­net. Leurs auteurs res­pec­tifs demandent à être davan­tage connus et reconnus.

Blog d'Alain SANDLER

Blog de la Primaire : Alain Sandler

Les privilèges du conseil constitutionnel – juin 2022

Pendant que les contri­buables se serrent la cein­ture et sont ponc­tion­nés de tous côtés par les impôts et taxes, l’argent de NOS impôts finance des pri­vi­lèges injus­ti­fiés. Depuis plus de 20 ans, les membres du Conseil consti­tu­tion­nel, aujourd’hui pré­si­dé par Laurent Fabius et dont Alain Juppé est membre, béné­fi­cient d’une indem­ni­té de fonc­tion com­plé­men­taire à leur rému­né­ra­tion. Ce qui fait que les membres du Conseil consti­tu­tion­nel touchent au total 16 000 euros brut par mois. C’est même 17 600 euros brut pour le pré­sident Laurent Fabius. Des rému­né­ra­tions supé­rieures à celle du chef de l’État ! Et en plus, la plu­part des membres du Conseil consti­tu­tion­nel addi­tionnent des pen­sions de retraite à leur indem­ni­té com­pen­sa­toire. Le très gros pro­blème est que cette indem­ni­té com­pen­sa­toire est illé­gale, car elle a été créée en 2001 par la secré­taire d’État au Budget, Florence Parly, qui n’est pas com­pé­tente en la matière.

Cette indem­ni­té a été ins­tau­rée en vio­la­tion de l'article 6 de l'ordonnance n°58–1067 du 7 novembre 1958 et de l'article 63 de la Constitution. 

Cette situa­tion est d’autant plus grave qu’elle per­dure depuis plus de vingt ans et que le coût esti­mé pour les comptes publics est de plus de 20 mil­lions d’euros. Voilà com­ment est gérée la France car c'est tout à l'avenant.

Les pri­vi­lèges de nos gou­ver­nants sont bien encore en vie, ils ne méritent que l'abstention, car aucun ne pro­pose de réfor­mer les dépenses de l'état.

PAUVRE FRANCE

Alain Sandler

Les Français auront ce qu’ils méritent – mai 2022

Premier Président réélu sans sor­tir d'une coha­bi­ta­tion, sur un score très confor­table, Emmanuel Macron dis­pose, selon les appa­rences, d'un bou­le­vard. Les macro­niens de la 25e heure, qui n'ont pas encore appris l'humilité, écrasent déjà de leur mépris leurs adver­saires. Les légis­la­tives leur tendent les bras.

Pourtant, Macron est le can­di­dat le plus mal élu de la Ve République. Il est l'homme des mal­en­ten­dus, le can­di­dat par défaut, celui qui fait l'affaire faute de mieux. Il est moins cli­vant que Mélenchon ou Zemmour, moins essouf­flé que Pécresse ou Hidalgo qui plongent les anciens par­tis de gou­ver­ne­ment dans une per­plexi­té notoire, plus convain­quant que Marine LE PEN et sou­te­nu par un amal­game de redres­seurs de tort à son ser­vice. Marine LE PEN espère main­te­nant un match re-​retour en 2027, à défaut d’une majo­ri­té aux législatives.

Il est arro­gant, men­teur, violent, mani­pu­la­teur, mono­po­li­sa­teur du pou­voir, il n'écoute per­sonne mais fait sem­blant d’écouter tout le monde. La France l'a mol­le­ment réélu, mais elle lui à nou­veau, signé un chèque en blanc pour 5 ans. Et main­te­nant on voir ce qu’on va voir.

Du côté de la vie, d'abord, puisque des catho­liques se sont mas­si­ve­ment pro­non­cés en sa faveur (évêque de Strasbourg, jour­nal La Croix, etc.) : Macron est le can­di­dat de la PMA pour toutes, de l'avortement à 14 semaines. Mais ce n'est pro­ba­ble­ment qu'un avant-​goût. On sait que les pro­chaines dis­cus­sions portent sur une révi­sion de la loi Leonetti et ouvri­ront peut-​être la porte à une léga­li­sa­tion de l'eutha­na­sie dite active, qu'on appe­lait autre­fois sui­cide assis­té, ou car­ré­ment meurtre, pour les plus excessifs.

Du côté des retraites, ensuite, puisque Macron a été plé­bis­ci­té par les retrai­tés, nos anciens, qui confondent nazisme et lepé­nisme. Ils n'ont plus rien à craindre pour leur pen­sion : ce sont les jeunes qui la leur paient. Le départ à la retraite sera repous­sé à 65 ans. Pas de quoi effrayer les pri­vi­lé­giés, qui sont par­tis à la retraite à 60 ans et vont de croi­sière médi­ter­ra­néenne en Airbnb au Portugal sans se poser trop de ques­tions. On tra­vaille­ra plus pour gagner la même chose. Peut-​être que les retraites seront enfin indexées sur l’inflation, mais rien n’est moins sûr. Les pro­messes ne valent que pour ceux qui les écoute et qui se laissent manipuler.

Les élec­teurs de Mélenchon, qui se sont repor­tés sur Macron à 50 %, le savaient pour­tant bien. Mais que voulez-​vous, faire bar­rage à la soi-​disant extrême droite, c'est quand même un impé­ra­tif élec­to­ral et non une convic­tion. La déma­go­gie mélan­cho­nienne vaut bien une rouerie. 

On ne fera pas que mou­rir sur com­mande et tra­vailler jusqu'à 65 ans, sous Macron II. On céde­ra aus­si un peu de sa sou­ve­rai­ne­té fran­çaise à l'Union euro­péenne et quelques nou­velles liber­tés dis­pa­rues. Constatons d'ailleurs que, par­mi la faune assez peu enga­geante du Champ-​de-​Mars, il y avait des cadres urbains, des retrai­tés dans le vent, des riches, de la diver­si­té, quelques dra­peaux fran­çais, mais aus­si… une pleine mois­son de dra­peaux euro­péens, cla­quant fiè­re­ment dans l'air du soir, agi­tés par un cor­tège de morts-​vivants qui ne votent que par dépit et par déni.

Président de l'Union euro­péenne jusqu'en juin, Macron s'est déjà pro­non­cé en faveur d'une plus grande inté­gra­tion à l'Europe. L’Europe, l’Europe, l’Europe, cette consti­tu­tion Européenne reje­tée par une majo­ri­té de Français, et dont nos gou­ver­nants n’ont tenu aucun compte. C’est leur inter­pré­ta­tion de la démocratie !!!

Enfin, par­mi les autres joyeu­se­tés qui attendent le peuple de France, cer­tain d'avoir fait le bien en construi­sant un bar­rage face à la famille LE PEN, qui est consi­dé­rée comme un épou­van­tail, on pour­rait citer tous les gages que le Président va devoir don­ner aux diverses « sen­si­bi­li­tés » qui l'ont por­té au pou­voir : éco­lo­gistes puni­tifs, avec leur cor­tège d'éoliennes, de res­tric­tions et de décons­truc­tions ; islamo-​gauchistes, qui, eux-​mêmes, sont désor­mais pri­son­niers de leur élec­to­rat de ban­lieue, qui va leur récla­mer tou­jours plus de sou­mis­sion ; gauche clas­sique et droite clas­sique, les par­tis des losers, dont les plus com­bi­nards des élus vont faire par­ti de l’oligarchie au pou­voir, et ain­si récol­ter quelques privilèges.

Au diable la décla­ra­tion des droits de l’homme et du citoyen et de la sou­ve­rai­ne­té des Françaises et des Français. Bonjour la pour­suite de la sou­mis­sion à l’oligarchie.

C'est un quin­quen­nat aux allures de cau­che­mar qui s'ouvre avec la béné­dic­tion de Français inconscients.

On se doute, en revanche, que, par­mi les tra­vaux qui attendent Macron, il n'y aura pas la lutte contre l'hydre tech­no­cra­tique, ni le net­toyage des écu­ries d'Augias que sont nos struc­tures éta­tiques et notre état bedonnant.

Bref : les Français l'ont vou­lu, ils l'ont à nou­veau : pure maso­chisme. Nous allons col­lec­ti­ve­ment, conti­nuer à subir, jusqu’au moment où trop sera trop, et où les rues seront prises d’assaut pour assu­mer une colère violente.

Mais ce n’est pas cela, la démocratie.

Alain Sandler

EN AVANT, ENSEMBLE, LA FRANCE DE DEMAIN – Mars 2022

Bonjour mes amis,

Nous vivons une période à la fois trou­blée et pas­sion­nante, Inquiétante et pleine d’espoir.

Quand je vous écris cela, je suis rem­pli d’un sen­ti­ment bizarre, mais tou­jours atta­ché au deve­nir de mon pays.

Comme vous, mes Chers amis, cet enva­his­se­ment de l’Ukraine, ce manque d’humanisme total du dic­ta­teur Vladimir POUTINE, me per­turbe gran­de­ment. Mais j’ai la convic­tion que ce crime contre l’humanité ne res­te­ra pas impu­ni et cette erreur gra­vis­sime du Monarque Russe, il va la payer très cher.

La pan­dé­mie du Covid 19 que nous venons de vivre et qui n’est pas com­plè­te­ment ter­mi­née, est aus­si pleine d’enseignements pour notre avenir.

Et la pro­blé­ma­tique actuelle de notre poli­tique doit res­ter la prin­ci­pale pré­oc­cu­pa­tion des Françaises et des Français. Car c’est notre ave­nir et de celui des géné­ra­tions futures qui est en jeu, donc celui de la France dans le Monde.

J’étais depuis long­temps déjà, dans l’attente d’un mou­ve­ment de fond, dans une grande per­plexi­té, car je sen­tais venir, de la France pro­fonde, un immense mou­ve­ment vers la volon­té de chan­ge­ment, ce chan­ge­ment que j’appelle de mes vœux depuis de longues années, ce chan­ge­ment d’orientation poli­tique néces­saire pour que vive mieux la France que j’aime de toutes mes forces.

Après avoir vécu au cœur de par­tis poli­tiques dans les­quels je me suis tou­jours sen­ti mal à l’aise, car entou­ré d’hommes et de femmes bien sou­vent plus moti­vés par leurs inté­rêts per­son­nels et leur car­rière que par ceux que le par­ti soi-​disant défendait.

C’est la rai­son pour laquelle, j’ai créé l’association le Cercle des Citoyens Français puis Tous Citoyens Responsables, dont j’ai confié la res­pon­sa­bi­li­té il y a quelques mois, me sen­tant fati­gué, à un qua­tuor qui lui aus­si m’a pro­fon­dé­ment déçu par son com­por­te­ment égo­tique. C’est déjà pour moi du passé.

J’ai sui­vi avec inté­rêt, l’aventure d’Éric ZEMMOUR, parce que sa volon­té de l’Union des droites, est aus­si la mienne. Comme vous le savez, j’ai été pen­dant quelques années, Président de la Fédération du Rhône du Centre National des Indépendants et Paysans, le C.N.I. A la fois le par­ti poli­tique le plus ancien, qui a connu son heure de gloire avec Antoine PINAY et René COTY et qui fut sabor­dé par Giscard d’Estaing, tou­jours pour des his­toires d’égo et de pré­ten­tions personnelles..

Antoine PINAY, l’homme au cha­peau rond, celui du pou­voir d’achat des Français, cet indus­triel dévoué à son pays, comme nous aime­rions en avoir aujourd’hui, c’est-à-dire un homme cou­ra­geux, indé­pen­dant et déter­mi­né à défendre la vie des Français, en lais­sant de côté ses inté­rêts per­son­nels, qui fut cer­tai­ne­ment l’un des meilleurs pre­miers ministres que la France ait connus.

Mais lais­sons de coté ma nos­tal­gie, car l’important, c’est l’avenir de notre pays qui, depuis quelques décen­nies, est mal­me­né, par des gou­ver­nants inca­pables de rem­plir plei­ne­ment leur si impor­tante mis­sion, en se lais­sant aller à la désaf­fec­ta­tion de notre Nation et à l’abandon de notre sou­ve­rai­ne­té, au béné­fice d’une gou­ver­nance mon­diale, dont les Français dans leur grande majo­ri­té ne veulent pas.

Pour faire court, la démarche entre­prise par Éric ZEMMOUR : l’union des droites, que lui refusent à la fois Madame LE PEN et Madame PECRESSE, est cer­tai­ne­ment la seule solu­tion, pour don­ner à la France, une gou­ver­nance enthou­sias­mante, sous réserve que le par­ti RECONQUÊTE, ne soit pas à nou­veau un ramas­sis d’oligarques. Car c’est une chance unique pour notre pays, de retrou­ver sa splen­deur, son exem­pla­ri­té et la confiance des Français.

Mon sou­hait, de voir cette nou­velle approche de la poli­tique, s’est vu dimanche confir­mé par l’arrivée d’une per­son­na­li­té de droite jeune, belle, intel­li­gente, pleine d’avenir, avec une vue très claire et très enga­geante de la manière de faire de la poli­tique : Marion Maréchal. Elle a décla­ré rejoindre des idées et non des hommes. Elle est brillante, et est sans aucun doute, l’exemple de la future géné­ra­tion de patriotes déter­mi­nés et com­pé­tents. Elle avait quit­té la poli­tique il y a 5 ans, décou­ra­gée par les impos­si­bi­li­tés de fran­chir le mur de l’oligarchie établie.

Le suc­cès pro­gres­sif de RECONQUÊTE, lui a don­né envie de reve­nir, car elle a dans la peau le virus de la poli­tique, celui dont on ne se défait jamais. Car la vraie poli­tique, c’est vrai­ment la confir­ma­tion d’une pas­sion pour son pays. L’oligarchie, c’est la pas­sion pour défendre ses inté­rêts per­son­nels, son enri­chis­se­ment, c’est tout le contraire du patrio­tisme et de l’intérêt d’une phi­lo­so­phie poli­tique. Emmanuel MACRON est de ceux là. Et ne nous trom­pons pas, il a 70 % des Français contre lui, ce sont à ces 70 % là qu'il faut par­ler et convaincre. C'est à cela que Eric ZEMMOUR doit s'attacher.

Mon par­ti de cœur, le C.N.I, deve­nu un embryon de par­ti, celui qui a ber­cé mes illu­sions, vient de rejoindre RECONQUÊTE

C’est ce qui m’a moti­vé, à ré-​adhérer en me rap­pro­chant ain­si de cette aven­ture Zemmourienne, mais en res­tant vigilant.

Je ne par­tage pas toute la stra­té­gie et je reste per­sua­dé, que nos gou­ver­nants, quels qu'ils soient, doivent être sur­veillés en per­ma­nence par une délé­ga­tion de citoyens en capa­ci­té de pro­po­ser aux Français à tout moment des cor­rec­tions de tra­jec­toire de la poli­tique menée, si elle ne semble pas être majo­ri­taire dans le pays et dans son inté­rêt. C’est l’idée du Haut Conseil National de la Citoyenneté, qui devrait rem­pla­cer le Sénat qui ne rem­plit pas sa mis­sion de seconde chambre, puisqu’il n’a aucun pou­voir réel.

Ce haut Conseil devant être élu au suf­frage uni­ver­sel à un tour et à mi-​mandat de la Présidence de la République. Ce haut Conseil étant dépo­si­taire du pou­voir réfé­ren­daire. Ce ne sont pas des repré­sen­tants du peuple mais des délé­gués de la socié­té civile.

Le res­pect de la véri­table démo­cra­tie est à ce prix. Il n’y a pas de vraie démo­cra­tie sans contre-​pouvoir réel. Ce contre-​pouvoir ne doit pas être entre les mains d’une oppo­si­tion dés­unie, mais du peuple tout entier. C’est la ver­tu du référendum.

Cela néces­site une réforme de la consti­tu­tion. Je conti­nue­rai, tout en sou­te­nant l’Union des droites, à défendre cette évo­lu­tion de la manière de faire de la poli­tique en cla­mant haut et fort : EN AVANT ENSEMBLE LA FRANCE DE DEMAIN.

Les hommes passent, mais le sys­tème reste. On voit bien ce qu’il advient de la consti­tu­tion de la Vème République après le Général de Gaulle. Il faut se pré­mu­nir contre ce dévoiement.

J’’ai écou­té avec grand inté­rêt, la décla­ra­tion de Toulon de Marion Maréchal et j’ai été à la fois séduit et enthou­siaste. J’ai bu ses paroles et je pense que c’est pour Éric ZEMMOUR, un apport d’une qua­li­té excep­tion­nelle, qui devrait lui, per­mettre de gagner le débat du second tour, après avoir été qua­li­fié au pre­mier et espé­rer être en mesure de don­ner à la France, la gou­ver­nance qu’elle mérite.

J’ai l’intime convic­tion que Éric ZEMMOUR a bien la France che­villé au corps et que bien entou­ré, il peut deve­nir un grand Président de la République. Ce n’est le cas ni de Valérie PECRESSE, ni de Marine LE PEN et ni bien sûr de Emmanuel MACRON. Quand aux autres can­di­dats, ils sont anecdotiques.

Mais l’idée de la mise sur orbite d’une nou­velle manière de faire de la poli­tique, avec une par­ti­ci­pa­tion citoyenne per­ma­nente, est pour moi une néces­si­té, pour une France libre, indé­pen­dante et exigeante.

Ce n’est pas parce que je sou­haite par­ti­ci­per à la vie poli­tique de mon pays, car c’est un devoir de citoyen, que je suis prêt à aban­don­ner mon indé­pen­dance démocratique.

Bien sûr que je sou­hai­te­rais voir Eric ZEMMOUR, pro­po­ser aux Français, cette grande réforme démo­cra­tique, afin d'obtenir la confiance majo­ri­taire du peuple de France. C'est la solu­tion incon­tour­nable, pour gagner l'élection.

Je tenais à vous appor­ter cette pré­ci­sion en vous deman­dant votre sou­tien, pour que vive une France unie et per­for­mante, comme le sou­haite fon­da­men­ta­le­ment une majo­ri­té de nos concitoyens.

Alain SANDLER

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